Je n’ai personne à qui parler
Par
Marlon
jeudi 3 juillet 2025
C’est une phrase que beaucoup gardent pour eux. Une phrase qu’on n’ose pas dire tout haut, de peur qu’elle sonne trop grave, trop triste, ou qu’elle mette les autres mal à l’aise. Et pourtant, c’est une réalité que vivent bien des gens, parfois même ceux qui semblent aller bien. Il y a des moments où l’on sent qu’on n’a tout simplement… personne à qui parler.
Pas pour raconter les banalités du quotidien, mais pour dire ce qu’on ressent vraiment. Pour parler de ses doutes, de ses peurs, de ce qui pèse. Ou simplement pour échanger un moment sincère, sans avoir à faire semblant. Ce manque de lien humain profond peut créer une sensation d’isolement pesante, même dans une vie active, même entouré.
Parfois, ce n’est pas qu’il n’y a personne autour, c’est que les gens ne sont pas disponibles, ou pas à l’écoute, ou tout simplement pas en capacité de comprendre. Alors on se replie, on évite de se confier, on finit par se taire. Et à force de se taire, on se sent invisible.
Mais ce silence intérieur n’est pas une fatalité. Il existe des espaces, des lieux, des instants où l’on peut recommencer à parler. Où on peut se reconnecter aux autres, même timidement. Parfois, il suffit d’une activité partagée, d’un regard bienveillant, d’une discussion informelle pour que quelque chose se débloque. Et cette première parole, ce premier contact, peut ouvrir une brèche dans la solitude.
C’est dans cet esprit que Planète Sorties existe. Pas pour faire du bruit ou remplir des agendas, mais pour créer des occasions de lien. Des moments simples, authentiques, où l’on peut retrouver le goût des échanges humains. On n’a pas besoin d’avoir une bande d’amis pour venir. Il suffit d’avoir envie de rencontrer, d’écouter, et peut-être, de commencer à parler.
Quand on n’a personne à qui parler, l’essentiel, c’est de ne pas s’enfermer. De ne pas croire que cette situation est figée. Il existe des gens, souvent bien plus proches qu’on ne le pense, qui eux aussi attendent une oreille, un mot, une présence.
Reprendre contact avec les autres peut être un chemin lent, mais il est possible. Et souvent, il suffit d’un premier pas pour que les choses commencent à changer.
Pas pour raconter les banalités du quotidien, mais pour dire ce qu’on ressent vraiment. Pour parler de ses doutes, de ses peurs, de ce qui pèse. Ou simplement pour échanger un moment sincère, sans avoir à faire semblant. Ce manque de lien humain profond peut créer une sensation d’isolement pesante, même dans une vie active, même entouré.
Parfois, ce n’est pas qu’il n’y a personne autour, c’est que les gens ne sont pas disponibles, ou pas à l’écoute, ou tout simplement pas en capacité de comprendre. Alors on se replie, on évite de se confier, on finit par se taire. Et à force de se taire, on se sent invisible.
Mais ce silence intérieur n’est pas une fatalité. Il existe des espaces, des lieux, des instants où l’on peut recommencer à parler. Où on peut se reconnecter aux autres, même timidement. Parfois, il suffit d’une activité partagée, d’un regard bienveillant, d’une discussion informelle pour que quelque chose se débloque. Et cette première parole, ce premier contact, peut ouvrir une brèche dans la solitude.
C’est dans cet esprit que Planète Sorties existe. Pas pour faire du bruit ou remplir des agendas, mais pour créer des occasions de lien. Des moments simples, authentiques, où l’on peut retrouver le goût des échanges humains. On n’a pas besoin d’avoir une bande d’amis pour venir. Il suffit d’avoir envie de rencontrer, d’écouter, et peut-être, de commencer à parler.
Quand on n’a personne à qui parler, l’essentiel, c’est de ne pas s’enfermer. De ne pas croire que cette situation est figée. Il existe des gens, souvent bien plus proches qu’on ne le pense, qui eux aussi attendent une oreille, un mot, une présence.
Reprendre contact avec les autres peut être un chemin lent, mais il est possible. Et souvent, il suffit d’un premier pas pour que les choses commencent à changer.
Sorties à Abymes
